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fr:resume [21/09/2018 06:45] – [Hornstrandir 2018 - Un retour aux sources] adminfr:resume [21/09/2018 18:18] admin
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 Certains auront du mal à comprendre ou à accepter cette idée. Je ne tenterai jamais de les convaincre. Je sais juste que ce jour là, dans la sérénité et la pleinitude de ce sentiment, quelque chose a changé. Le début d'une aventure. Le début de l'histoire... Certains auront du mal à comprendre ou à accepter cette idée. Je ne tenterai jamais de les convaincre. Je sais juste que ce jour là, dans la sérénité et la pleinitude de ce sentiment, quelque chose a changé. Le début d'une aventure. Le début de l'histoire...
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 Je suis allé dormir tout au bout de l'Europe. Un voyage initiatique de 5000 kilomètres aller-retour à travers la Norvège, de Stavanger jusqu'au Cap Nord. Le vent qui glisse sur ma tente. Un soleil de minuit. La langueur et le calme de l'été dans les Lofoten... Comment pourrais-je décrire ce qu'on ressent, au petit matin, quand il ne reste plus face à soi que l'océan, et la certitude d'être allé tout au bout de la route ? Au bout de soi. Presque au bout du monde... Je suis allé dormir tout au bout de l'Europe. Un voyage initiatique de 5000 kilomètres aller-retour à travers la Norvège, de Stavanger jusqu'au Cap Nord. Le vent qui glisse sur ma tente. Un soleil de minuit. La langueur et le calme de l'été dans les Lofoten... Comment pourrais-je décrire ce qu'on ressent, au petit matin, quand il ne reste plus face à soi que l'océan, et la certitude d'être allé tout au bout de la route ? Au bout de soi. Presque au bout du monde...
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-Résumé bientôt disponible...+Soixante-dix-huit degrés nordUn edenUn paradis de nature et de solitude. J'en avais rêvé de longs mois durant et, ce jour-là, le soleil dans les yeux, je savais que ce rêve était en train de se concrétiser.
  
 +Il me fait encore marcher aujourd'hui. Comme une promesse, un absolu perdu qu'il me faut retrouver à tout prix.
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 Un spectacle inoubiable, qu'aucun mot ne saurait décrire correctement. Et l'émotion d'une première fois : notre première aurore boréale... Un spectacle inoubiable, qu'aucun mot ne saurait décrire correctement. Et l'émotion d'une première fois : notre première aurore boréale...
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 Un lever de soleil, quelques centaines de mètres sous le toit de l'Europe. Dôme du Goûter, 5h15 du matin le vendredi 15 juin. L'aventure s'arrête dans un face à face splendide avec les derniers contreforts du Mont-Blanc, à un peu plus de 4200 mètres d'altitude. Le vent hurlait à en perdre l'équilibre, et la neige nous cinglait le visage. Je n'arrivais plus à savoir si j'étais sur les cimes d'une montagne, ou au milieu d'une plaine polaire. Concentré sur chaque pas, sur chaque geste, j'avais conscience depuis plusieurs heures que le sommet était perdu. Pourtant, derrière mon masque, je ne pouvais m'empêcher de sourire : je venais de me souvenir de tous les efforts consentis pour en arriver là, et de comprendre que cet instant resterait gravé en moi. Vivement la prochaine fois... Un lever de soleil, quelques centaines de mètres sous le toit de l'Europe. Dôme du Goûter, 5h15 du matin le vendredi 15 juin. L'aventure s'arrête dans un face à face splendide avec les derniers contreforts du Mont-Blanc, à un peu plus de 4200 mètres d'altitude. Le vent hurlait à en perdre l'équilibre, et la neige nous cinglait le visage. Je n'arrivais plus à savoir si j'étais sur les cimes d'une montagne, ou au milieu d'une plaine polaire. Concentré sur chaque pas, sur chaque geste, j'avais conscience depuis plusieurs heures que le sommet était perdu. Pourtant, derrière mon masque, je ne pouvais m'empêcher de sourire : je venais de me souvenir de tous les efforts consentis pour en arriver là, et de comprendre que cet instant resterait gravé en moi. Vivement la prochaine fois...
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 Terre de Baffin, je me souviens... Je me souviens de la banquise. Des ours polaires qui couraient dessus. Je me souviens des aurores boréales, et du vent qui balayait les vallées. Mais, plus que tout, je me souviens d'un instant. D'un moment. Nous étions seuls depuis des jours. Au sommet de la colline, j'avais laissé les autres prendre quelques mètres d'avance. Il n'y avait pas un bruit. Le soleil brillait de tout son éclat et, devant moi, le paysage n'avait plus de limite. Soudain, dans cette immensité, je me suis senti libre. Une liberté que les mots ne peuvent exprimer. Un sentiment total et infini, qui se suffit à lui-même. Terre de Baffin, oui, je me souviens... Terre de Baffin, je me souviens... Je me souviens de la banquise. Des ours polaires qui couraient dessus. Je me souviens des aurores boréales, et du vent qui balayait les vallées. Mais, plus que tout, je me souviens d'un instant. D'un moment. Nous étions seuls depuis des jours. Au sommet de la colline, j'avais laissé les autres prendre quelques mètres d'avance. Il n'y avait pas un bruit. Le soleil brillait de tout son éclat et, devant moi, le paysage n'avait plus de limite. Soudain, dans cette immensité, je me suis senti libre. Une liberté que les mots ne peuvent exprimer. Un sentiment total et infini, qui se suffit à lui-même. Terre de Baffin, oui, je me souviens...
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 Devant tant de beauté et de férocité mêlées, il n'y a sans doute que le silence qui ait du sens. Le silence... Comme celui, profond et immobile, qui étreint les vallées et les fige dans l'éternité. Comme celui, mélancolique, que je garde lorsque je repense à cette aventure. Et que je réalise, encore une fois, que je ne retournerai jamais dans cet endroit que j'ai tant aimé. Devant tant de beauté et de férocité mêlées, il n'y a sans doute que le silence qui ait du sens. Le silence... Comme celui, profond et immobile, qui étreint les vallées et les fige dans l'éternité. Comme celui, mélancolique, que je garde lorsque je repense à cette aventure. Et que je réalise, encore une fois, que je ne retournerai jamais dans cet endroit que j'ai tant aimé.
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 ==== Svalbard 2015 - Mon chemin de croix ==== ==== Svalbard 2015 - Mon chemin de croix ====
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 Vent de face, jambes vides, moral dans les chaussettes... Combien de fois me suis-je dit, coincé entre cette pulka qui me cisaillait le dos, et ces montées qui n'en finissaient plus : « L'année prochaine, je pars aux Seychelles !!! » ??? ... Sur le moment, je n'ai pas eu l'idée de compter. Mais cette pensée m'a si souvent traversé l'esprit qu'à un moment, c'est certain, je me suis promis que c'en était fini du froid et des galères ! Vent de face, jambes vides, moral dans les chaussettes... Combien de fois me suis-je dit, coincé entre cette pulka qui me cisaillait le dos, et ces montées qui n'en finissaient plus : « L'année prochaine, je pars aux Seychelles !!! » ??? ... Sur le moment, je n'ai pas eu l'idée de compter. Mais cette pensée m'a si souvent traversé l'esprit qu'à un moment, c'est certain, je me suis promis que c'en était fini du froid et des galères !
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 ==== Vatnajökull 2016 - Mon horizon blanc ==== ==== Vatnajökull 2016 - Mon horizon blanc ====
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 Le vent se lève. La neige se met à défiler sous nos pieds, comme un tapis roulant géant. On avance en courbant le dos, le soleil dans les yeux. Notre horizon se résume à une ligne blanche. Rien devant, rien derrière. Nous sommes seuls au monde... Le vent se lève. La neige se met à défiler sous nos pieds, comme un tapis roulant géant. On avance en courbant le dos, le soleil dans les yeux. Notre horizon se résume à une ligne blanche. Rien devant, rien derrière. Nous sommes seuls au monde...
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 ==== Hornstrandir 2018 - Un retour aux sources ==== ==== Hornstrandir 2018 - Un retour aux sources ====
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 Après une année de congé paternité, j'ai voulu reprendre la route là où je l'avais laissée ; là où tout a commencé ; dans cette Islande dont je n'arrive ni à me lasser, ni à me passer. Mais, plus que tout, j'avais besoin de renouer avec la formule originelle : juste moi, mon sac, ma tente et mon idée. Après une année de congé paternité, j'ai voulu reprendre la route là où je l'avais laissée ; là où tout a commencé ; dans cette Islande dont je n'arrive ni à me lasser, ni à me passer. Mais, plus que tout, j'avais besoin de renouer avec la formule originelle : juste moi, mon sac, ma tente et mon idée.
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